Quels sont les 10 meilleurs compteurs GPS vélo ?


Apparus dans les années 2000, les compteurs vélo n’ont eu de cesse d’évoluer. Désormais connectés, avec des écrans de toutes tailles parfois devenus tactiles et en couleur, les compteurs vélo GPS permettent non seulement d’afficher des données de vitesse et kilométriques, mais également une multitude de métriques, graphiques et autres cartes topographiques. Face à cette bataille technologique que se livrent Garmin, Polar, Sigma, Bryton, Lezyne, Wahoo et les autres, comment faire pour choisir le bon compteur vélo GPS ?
De 49 € à plus de 600 € autant dire que le choix est vaste. Pour commencer, en se concentrant sur nos propres besoins, un premier tri peut se faire : avec carte / sans carte, besoins en navigation, capteurs additionnels, écran tactile, autonomie, … De nombreux compromis peuvent être faits.
Nous avons sélectionné dans ce guide les 10 meilleurs compteurs vélo GPS, répertorié pour chaque usage.
> Ce qui fait la qualité d’un GPS
Aujourd’hui, lorsque l’on parle vélo, il est difficile de dissocier pratique cycliste régulière et utilisation d’un GPS. Cet appareil (le GPS) est, en effet, devenu un outil indispensable des vélotaffeurs, des randonneurs, des cyclosportifs et des compétiteurs. Décliné au plus que pratique, il ne se contente pas d’informer l’utilisateur sur ses performances en direct, ni même d’indiquer la route à suivre ; il est capable de trouver des raccourcis. Certains modèles sauront également optimiser l’entraînement et se positionner sur les réseaux sociaux…
Le cycliste, qui est, aussi, un automobiliste – à temps partiel -, ne saurait plus se passer d’un GPS. Cet appareil est, en effet, comme sur un “véhicule terrestre à moteur doté de quatre roues” (une voiture, si vous préférez), un véritable ordinateur de bord. Tout en électronique et en technologie, il facilite la vie de ceux qui veulent optimiser leur pratique et (ou) leur entraînement. Il permet d’enregistrer des parcours et servir de guide (pour peu que l’utilisateur ait pris la peine de programmer une destination). En outre, il s’avère, comme un compteur classique, apte à collecter des renseignements fort utiles tels que la vitesse, la distance effectuée, le temps de roulage, le pourcentage de pente, la cadence de pédalage, la puissance développée ou la fréquence cardiaque. Et cela, sans – fastidieux – réglage préalable. Et puis, il est possible de suivre un parcours existant (une étape du Tour de France, une sortie club ou autre), avec ou sans cartographie.
> Analyse, cartographie et connexion
La majorité des GPS du marché s’utilisent comme des compteurs classiques, tout simplement parce qu’ils sont conçus de la même manière, c’est-à-dire avec la même philosophie… Leur objectif prioritaire n’est pas, comme sur les voitures, de mener l’utilisateur d’un point de départ à un point d’arrivée (parfois, il s’agit d’ailleurs du même point), mais d’enregistrer toutes les données (vitesse, vitesse moyenne, kilométrage, dénivelé…) nécessaires à l’analyse de l’effort sur ledit parcours.
Pour compléter ce dispositif, les fabricants de GPS ont mis en place des plates-formes d’analyse des données où la synthèse et l’interprétation deviennent extrêmement précises. L’archivage est de rigueur et chacun peut retracer son évolution. Jour après jour, semaine après semaine, mois après mois… Revers de la médaille, ces plates-formes liées à une marque, imposent un “contrat” à long terme. En effet, les données recueillies sur un Garmin (quel que soit le modèle) ne sont “analysables” que sur Garminconnect, tandis que celles recueillies sur un Polar ne le seront que sur Polar Flow… De même, il sera impossible de télécharger des itinéraires proposés par d’autres cyclistes en passant par une autre plate-forme que celle de sa marque ! Qu’à cela ne tienne, il est toujours possible d’envoyer, par courriel, des fichiers GPX (le standard des fichiers-parcours pour GPS) et de les charger sur son compteur, de manière à se faire guider. Il est également envisageable de passer par une application ou un logiciel “neutre”. L’incontournable Strava est une possibilité. Open Runner en est une autre. Ce côté communautaire, dans le cadre d’une plate-forme liée, ou non, à la marque, ouvre de grands champs de parcours, en particulier lorsqu’il s’agit d’évoluer loin de son habituel terrain de jeu, à l’entraînement ou en randonnée.
La plupart des entraîneurs utilisent, aujourd’hui, des plateformes telles que TrainingPeaks, Goldenchhetah, Poweragent ou encore Noilo, pour ne citer que celles-là. Comment ? C’est très simple. Il suffit de récupérer chaque fichier d’entraînement et de le déposer sur plateforme considérée. Cette dernière agie ensuite de la même manière que la plateforme Garminconnect, avec une ergonomie différente, évidemment.
Certains GPS ont, en plus de ces données “compteur”, des fonctionnalités nouvelles venues de l’industrie automobile, à savoir tout ce qui se rapporte à la navigation. Pour un résultat de qualité, il importe que ces compteurs GPS disposent d’une cartographie adaptée. Cette cartographie, d’intérêt souvent très local, n’est pas toujours fournie. Il faut alors se délester de quelques dizaines d’euros. Le jeu n’en vaut pas toujours la chandelle, en particulier pour des randonnées ponctuelles, loin de ses bases…
La connexion des appareils GPS fait toute la différence en termes de gestion de l’entraînement. Mais pour cela, il faut être certain que l’appareil considéré dispose de la transmission des données par ANT+ ou, de plus en plus (voir, notamment les produits Wahoo) en Bluetooth. L’ANT+ permet d’enregistrer un maximum de données en provenance du compteur de vitesse, du capteur de cadence (pédalage et rythme cardiaque). Le Bluetooth fait entrer en scène le smartphone. La ou les personne(s) sélectionnée(s) peut (peuvent) recevoir en temps réel les données de l’entraînement, pour une analyse en direct ou simplement pour un suivi amical (pour organiser un ravitaillement, par exemple).
Mais point trop de soucis à ce niveau-là. C’est une tendance de fond, ces dernières années. Les compteurs GPS modernes disposent de la transmission de données ANT+ et Blutooth. Garmin, le leader du marché a, comme souvent, impulsé la tendance. Aujourd’hui, les Garmin 530, 830 ou 1030 utilisent ces technologies et cela fonctionne parfaitement. Il en va de même chez Bryton, avec les 450, 410 ou Aéro 60 ; ou chez Wahoo avec les ELEMNT, ELEMNT ROAM et ELEMNT BOLT…
> Le GPS au service du cycliste
Ces caractéristiques du GPS se mettent toutes au service du cycliste, que ce soit sur route, en VTT, en cyclocross, en cyclosport ainsi qu’en randonnée (pour les cyclotouristes, tout particulièrement s’ils sont au long cours). Même les pistards peuvent utiliser un GPS. Itinéraires, performances, conseils. Le champ des possibles s’agrandit et permet de multiplier les approches de chaque sortie.
Autre avantage, le guidage permet de s’orienter, en faisant fi du type de route (pour du gravel, par exemple) ou, au contraire, en privilégiant telle ou telle voie (véloroute ou voie verte, route classique…). Une possibilité intéressante, si l’on décide ou, au contraire, si l’on refuse de rouler sur tel ou tel type d’itinéraire.
De plus, la plupart des GPS (en milieu et, a fortiori, en haut de gamme) sont de vrais ordinateurs de bord. Ils donnent la possibilité de multiplier les paramètres à exploiter, et donc, permettent de cibler les entraînements. Distance, vitesse, durée du parcours, dépenses caloriques, altitude, dénivelé ou cumul de dénivelés…
Enfin, il est possible de coupler son GPS avec une ceinture cardiaque, à un capteur de vitesse/cadence ou encore à un capteur de puissance. Chaque entraînement peut être analysé avec une grande précision. Progresser devient une évidence. La reconnaissance de parcours s’en trouve très grandement facilitée. Mieux, elle devient carrément indispensable, avant de se lancer dans une compétition, quelle qu’elle soit… D’ailleurs, elle en devient même ludique. Voilà pourquoi, une nouvelle fois, il importe de vérifier les possibilités de connexion et de synchronisation avec d’autres appareils.
Désormais, les écrans tactiles (attention, l’hiver, de bien se doter de gants compatibles) et les écrans couleurs se généralisent, pour une facilité d’utilisation encore accrue. Tandis que le couplage (généralement possible) avec l’application Strava est un indéniable plus.
> Un GPS plutôt qu’un smartphone ?
Mais alors, pourquoi faudrait-il acheter un GPS, alors qu’un smartphone est, au travers de certaines applications pensées pour les cyclistes, parfaitement capable de faire le même travail de présentation et d’analyse ? Aujourd’hui, tout le monde – ou presque – possède un smartphone…
La raison, économique, jouerait donc en faveur du portable. Logique, avec un smartphone, il s’agit juste de télécharger une application, gratuite (c’est rare !) ou payante (quelques euros seulement) et de fixer son téléphone sur la potence et, le cas échéant, sur le cintre. Là encore, on trouve, pour quelques euros, des supports de qualité.
Pourtant, le smartphone a plusieurs désavantages majeurs. Tout d’abord, à moins de disposer d’une batterie externe (lourde et généralement encombrante), l’autonomie dudit smartphone s’avère limitée. Elle ne dépasse que très rarement les cinq heures. Ensuite, dans certaines conditions (fort soleil, pluie, brouillard…) malgré une imposante taille d’écran, la lecture des données affichées n’est pas aussi aisée sur un smartphone que sur un GPS. Ce dernier, toujours plus petit, est conçu pour être lisible, même dans des conditions extrêmes. Enfin, la robustesse des smartphones, exception faite des modèles taillés pour l’aventure (Crosscall, par exemple), reste à prouver… Aussi, en cas de chute, il est presque impératif de changer de matériel. À l’inverse, un GPS ne craint guère la chute. Mieux, certains modèles permettent d’envoyer un message aux proches, en cas d’accident….
> Bien choisir un GPS
Comme souvent à l’heure du choix, c’est le budget qui conditionne les choses… En matière de GPS, les compteurs fiables affichent un prix qui débute autour de 150 €. Il est certes possible de trouver moins cher, mais la qualité n’est pas toujours au rendez-vous, notamment en termes de fiabilité du signal satellite. Les petits budgets devront donc privilégier les “entrées de gamme” des marques connues (Garmin, Bryton, TwoNav…) ou des spécialistes tels que Lezyne.
À partir du budget disponible, il faut se poser la question de ses besoins. Un compétiteur pur et dur devra accéder facilement à des données fiables destinées à la gestion de son entraînement et plus globalement, de son effort ; tandis qu’un vélotaffeur ou un coursier voudra connaître le chemin le plus court ou le plus rapide. Il importe donc de définir précisément son profil cycliste type ; de savoir si l’on envisage de partir plusieurs jours à vélo ; si l’on alterne les plaisirs avec de la route ou du VTT (voire de la piste ou du cyclocross) ; si l’on agit avec une optique loisir ou performance…
Le compétiteur optera pour un modèle complet (avec ceinture cardiaque, fréquence de pédalage, voire capteur de puissance) apte à l’analyse de l’effort. L’objectif étant, rappelons-le, de progresser et de repousser les limites au maximum.
Un cyclotouriste, moins focalisé sur la performance pure, aura certainement une approche davantage axée sur la découverte de nouvelles routes, surtout lorsque lesdites routes se trouvent loin de ses bases. L’ergonomie aura alors la priorité. Certaines fonctions d’analyse lui seront utiles. Pas toutes.
Parfois, le compétiteur se transforme en randonneur, tandis que le cyclotouriste prend le départ de quelques compétitions pures. De temps en temps, les deux enfilent le costume du cyclosportif ou s’aventurent hors des sentiers battus, en VTT ou, plus probablement en gravel.
Du coup, la question de l’autonomie peut être prise en compte. Certains supports dotés d’une batterie supplémentaire (proposé en particulier chez Garmin) pourront constituer un très bon choix, notamment sur des épreuves de longue ou d’ultra-longue distance, telles que la RATA (Race Across The Alps), le Bordeaux-Paris ou le Paris-Brest-Paris.
Les possibilités de connexion sont également à prendre en compte, que ce soit en ANT+ ou en Bluetooth… Cela peut être intéressant de synchroniser un GPS avec un home-trainer. La compatibilité avec Strava et/ou avec Zwift peut s’avérer utile voire, tout simplement, très ludique. Quoi qu’il en soit, pouvoir partager ses données, dans un groupe restreint (ouvert ou fermé) ou, au contraire, avec “tout le monde”, est toujours source de motivation, défis à la clé !
Et puis, il y a la question de la marque. Rien n’est plus subjectif, on vous l’accorde… Aujourd’hui, la référence absolue du GPS est, et demeure, Garmin. C’est logique. Car il faut bien reconnaître que les produits de la marque US cumulent une certaine simplicité d’utilisation, avec une ergonomie sans égale, une grande robustesse au travers d’une gamme complète pensée pour chaque utilisation, en fonction de chaque budget.
Cependant, la concurrence a fait d’énormes progrès. Wahoo, par exemple, s’est fait le spécialiste de la connectivité et de la synchronisation sans fil. Bryton propose une gamme complète avec un rapport qualité/prix sans égal. Polar, spécialiste historique du cardio, permet de collecter des données extrêmement précises, qui peuvent être analysées sur une plate-forme complète et très ludique. Sigma, qui a largement contribué à la généralisation dans les années 90 et 2000 du compteur “classique”, a su adapter son savoir-faire à la technologie GPS. TwoNav est devenu le spécialiste de la navigation. Lezyne s’est discrètement imposé comme le spécialiste des prix serrés, pour des produits complets…
Plus qu’un simple accessoire, le GPS s’est imposé comme le compagnon indispensable du cycliste, du cyclosportif, du cyclotouriste, du pistard, du VTTiste, du vélotaffeur, du fan de gravel et même de l’inclassable touche à tout de la Petite Reine. Véritable ordinateur de bord, pratique et peu encombrant, le GPS offre de très nombreux services dont le pratiquant moderne aurait, aujourd’hui, beaucoup de mal à se passer : calcul d’itinéraire, planification de l’entraînement, analyse des données, appel en cas d’accident… Le choix sur le marché est extrêmement riche, pour ne pas dire, excessivement pléthorique. Alors, au moment de faire un choix, on tiendra compte de son budget, de ses besoins (et de ses envies, cela compte aussi !), des options et des possibilités de synchronisation.
1. Compteur vélo GPS Bryton 420
Simple, précis. Voici en 2 mots la présentation du compteur vélo GPS Bryton 420. Compatible avec les différents système de localisation GPS, Glonass, BDS, Galileo ou QZSS, le Bryton 420 est un modèle de précision et de célérité. Quelques secondes suffisent pour lancer le compteur avant de rouler. Avec plus de 70 données différentes, 8 champs de données par page d’affichage (5 pages personnalisables via l’application Smartphone ou Tablette), une connectivité ANT+ et Bluetooth, ce modèle est déjà complet malgré un prix modeste.
De plus, un suivi de trace et une navigation virage par virage avec les applications Bryton Active, Strava ou Komoot sont disponibles ! Ne craignez pas l’extinction intempestive, la batterie du Bryton 420 est prévue pour fonctionner 35 heures.

Points forts : Prix, Autonomie, taille, poids, Précision GPS.
A conseiller pour : les utilisateurs souhaitant un compteur vélo GPS performant et compact à prix réduit.
Fiche technique :
- Autonomie : 35h.
- Connectivité : ANT+ et Bluetooth LE.
- Écran : Monochrome 2,3 pouces.
- Écran tactile : Non.
- Cartographie : Non.
- Taille compteur : 83,9 mm x 49,9 mm x 16,9 mm.
- Poids : 67g.
- Prix : 129,95 €.
En option les Bundle Bryton 420 H (420 E + ceinture cardiaque) et Bryton 420 T (420H + capteurs de vitesse et de cadence).
Plus d’informations sur le site de Bryton.
2. Compteur vélo GPS Garmin Edge 130
Malgré sa taille réduite, le compteur vélo GPS Garmin Edge 130 est un modèle de performance. Doté des puces GPS, Glonass, Galileo, sa précision dans l’acquisition de signal est exemplaire, la correction d’altitude barométrique ne manquant pas d’améliorer la fiabilité de mesure.
Grâce à l’application Garmin Connect, les itinéraires et parcours peuvent être chargés sur le compteur vélo GPS Garmin Edge 130 qui indiquera la direction à suivre. Connecté au smartphone, il permet le LiveTrack et la gestion des segments Garmin et Strava.

Points forts : Compact (taille et poids), Précision GPS, connectivité.
A conseiller pour : sa compacité et sa fiabilité.
Fiche technique :
- Autonomie : 15h.
- Connectivité : ANT+ et Bluetooth LE.
- Écran : Monochrome 1,8 pouces.
- Écran tactile : Non.
- Cartographie : Non.
- Taille compteur : 63 mm x 41 mm x 16 mm.
- Poids : 33g.
- Prix : 169,99 €.
Compatible avec la gamme d’éclairage intelligent Garmin Varia. La version VTT inclut housse en silicone, support VTT et télécommande.
Plus d’informations sur le site de Garmin.
3. Compteur vélo GPS Bryton Rider S 500
Positionné juste derrière le Bryton Rider 750 est un GPS haut de gamme pensé pour les cyclistes sportifs. Compatible avec tous les GNSS, GPS, Glonass, Galileo, BDS et QZSS, il se montre redoutablement précis.
Petit gabarit, ce Rider S 500 offre les fonctionnalités classiques : vitesse, distances, données altimétriques, fréquence cardiaque, cadence de pédalage, puissance ou navigation ; mais aussi la recherche vocale, via un smartphone et l’appli Bryton Active.
Dès que la pente s’élève le Climb Challenge indique les segments éligibles au chronométrage. La modification des intensités peut d’ailleurs s’effectuer en direct.
Pour ceux disposant d’un groupe électronique (Shimano Di2, Campagnolo EPS, Sram eTap, Sram AXS), le compteur permet d’en afficher de nombreuses informations (braquet, position cassette et plateau, rapport de vitesse, autonomie batterie).

Points forts : Précision GPS, Compacité, Lisibilité, Prix (notamment en version S 500 T).
A conseiller pour : les compétiteurs, les cyclosportifs et les randonneurs sportifs désirant un compteur vélo GPS précis avec cartographie et bonne autonomie.
Fiche technique :
- Autonomie : 24 heures.
- Connectivité : ANT+ / BLE et Bluetooth.
- Écran : Couleur 2,4 pouces.
- Écran tactile : Oui.
- Cartographie : Principales régions (téléchargement).
- Taille compteur : 83,9 mm x 51 mm, 17,4 mm.
- Poids : 87 g.
- Prix : 299 € en version E (compteur + support + coque de protection) – 379 € en version T (compteur + support + ceinture cardiaque + capteur de cadence + capteur de vitesse).
4. Compteur vélo GPS Hammerhead Karoo 2
L’Hammerhead Karoo II, est en train de s’imposer comme la nouvelle référence des GPS premium. Avec son grand écran très haute définition, qui optimise la navigation, il n’a aucun équivalent sur le marché, d’autant qu’il permet de changer de direction en cours de route, tout en préservant le point d’arrivée et le kilométrage global.
Hautement connecté : ANT+, Bluetooth, Wifi, 3G et 4G, il est compatible GPS, Glonass, Beidou et QZSS. Son accéléromètre triple-axes, son baromètre-thermomètre, son gyroscope ou son magnétomètre contribuent à la précision, particulièrement pour le Climb Challenge.
Pensée pour les transmissions électroniques Campagnolo, Shimano et SRAM, il s’adapte également au radar Garmin Varia, à tous les capteurs de puissance, de cadence ou de vitesse. Connecté à Strava, il indique, en temps réel, les segments.
Son système de fixation très précis, peut s’adapter au standard Garmin, tandis que son écran étanche permet de rouler sous une pluie battante.

Points forts : La précision des données, l’écran haute définition, la lisibilité, la cartographie et la navigation.
A conseiller pour : les cyclistes ayant besoin de données chiffrées et précises, comme d’une navigation de haut niveau.
Fiche technique :
- Autonomie : jusqu’à 15 h.
- Connectivité : Wifi, ANT +, Bluetooth 4.0, 4G, 3G par micro-Sim.
- Écran : Couleur 3,2″ pouces (480 x 800).
- Écran tactile : Oui (+ 4 boutons).
- Cartographie : Oui.
- Taille compteur : 100,6 mm x 60,8 mm x 19,3 mm.
- Poids : 130 g.
- Prix : 399 €.
5. Compteur vélo GPS Wahoo Elemnt Bolt
Connecté et Aérodynamique sont les maîtres mots du compteur vélo GPS Wahoo Elemnt Bolt.
Doté des technologies ANT+ et Bluetooth, il est nécessaire d’appairer son compteur à un smartphone ou une tablette afin de le paramétrer via l’application Wahoo Elemnt : ce compteur vélo GPS est résolument sans fils !
Les pages personnalisées permettent d’afficher de 2 à 9 champs de données, dont les données des groupes électroniques (Sram eTap ou Shimano Di2). Les notifications du téléphone connecté sont également possibles. La trace du parcours est fournie en temps réel sur une page dédiée.
Côté technique, le Wahoo Elemnt Bolt est doté d’une puce GPS compatible avec GPS, GLONASS, Beidou, Galileo et QZSS pour une compatibilité et une précision maximale. L’altitude est elle corrigée grâce au baromètre intégré.
Côté navigation, les itinéraires sont synchronisés automatiquement avec des applications tierces comme Strava, RidewithGPS ou Komoot. Le guidage est uniquement visuel même si une alarme signale un éloignement de la trace. Malgré un affichage monochrome, la lisibilité reste bonne sur les cartes Wahoo optimisées pour cet affichage. Les mises à jour sont de plus gratuites.
Fourni avec un support déporté à l’aérodynamisme travaillé, le compteur vélo GPS Wahoo Elemnt Bolt permet de gagner 12,6 secondes sur 40 km à 33 km/h selon les études menées par Wahoo.
L’originalité des compteurs Wahoo réside dans l’utilisation de LED. Ici 7 LED placées sur le haut du Wahoo Elemnt Bolt permettent de de donner une information visuelle sur la vitesse, la fréquence cardiaque ou la puissance, en fonction des zones paramétrées dans l’application.
La connectivité Bluetooth autorise le Wahoo Elemnt Bolt à recevoir les notifications d’appels et sms du Smartphone.

Points forts : Design sportif, Connectivité, précision GPS.
A conseiller pour : l’expérience 100% sans fils et les utilisateurs « Sportifs ».
Fiche technique :
- Autonomie : 15h.
- Connectivité : ANT+ et Bluetooth LE.
- Écran : Monochrome 2,2 pouces.
- Écran tactile : Non.
- Cartographie : Europe ou Monde.
- Taille compteur : 73mm x 45 mm x 22 mm.
- Poids : 60g.
- Prix : 239,99 €.
Plus d’informations sur le site de Wahoo.
6. Compteur vélo GPS Polar V650n
Inventeur des montres cardiofréquencemètres de fitness, Polar a concentré son expertise en la matière dans le compteur vélo GPS Polar V650n. Délaissant l’historique Windlink au profit de la connectivité Bluetooth Smart, Polar s’est ainsi assuré la compatibilité avec de nombreux capteurs et accessoires (sans ANT + toutefois).
La cartographie Open Street Map, limité à 1 bloc de 450 km x 450 km, est à télécharger et installer gratuitement, permettant navigation et guidage en temps réel.
60 jours d’abonnement à Strava Premium sont inclus, et l’intégration des Live Segment permet de comparer ses efforts en direct sur le compteur.
Le grand écran couleur de 2,8 pouces supporte un affichage de 6 informations par page avec intégration de graphiques et visuels réussis.
Toute l’expertise Polar se retrouve d’ailleurs dans les métriques sportives et le suivi complet de données d’entrainement.

Points forts : Grand écran, données sportives, cartographie intégrée.
A conseiller pour : l’expérience utilisateur « Sportive ».
Fiche technique :
- Autonomie : 10h.
- Connectivité : Bluetooth Smart.
- Écran : Couleur 2,8 pouces (240 x 320 pixels).
- Écran tactile : Oui.
- Cartographie : Mondiale (limité à 450 x 450 km).
- Taille compteur : 104mm x 62mm x 15 mm.
- Poids : 120g.
- Prix : 249,90 €.
Plus d’informations sur le site de Polar.
7. Compteur vélo GPS Wahoo Elemnt Roam
Comme la majorité des compteurs Wahoo, l’expérience utilisateur débute par la configuration via l’application ELEMNT sur Smartphone ou tablette. L’interface y est très conviviale et on regrettera juste la présence d’1 seul profil sur le compteur n’autorisant pas des affichages dédiés à chaque vélo ou type de sortie.
Côté précision le Wahoo Elemnt Roam est, comme l’ensemble de la gamme britannique, un compteur « Full GNSS » : compatible avec GPS, Glonass, Galileo, Beidu et QZSS. La précision de la mesure d’altitude est assurée par le baromètre.
Les champs de données sont personnalisables (11 par pages maximum), de même que la rangée LED verticale qui affiche le niveau d’une métrique (vitesse, fréquence cardiaque, puissance) alors qu’une autre rangée LED, horizontale, signale les changements de direction.
Pour les sportifs aguerris, certains champs feront leur bonheur : données de puissance normalisée, TSS, IF…
Wahoo a particulièrement soigné la partie Navigation du compteur vélo GPS Elemnt Roam : la cartographie Monde est gratuite et à installer par blocs (4 Go disponibles), la navigation par destination est disponible (recherche sur carte), le recalcul d’itinéraires est proposé en direct sur le compteur.
Wahoo ne propose pas de logiciel pour la création d’itinéraires qui doit se faire avec des applications tierces. Cependant, le Wahoo Elemnt Roam étant équipé Wifi, il autorise non seulement les mises à jour en direct sur l’appareil mais également le transfert des sorties et le téléchargement des cartes et itinéraires. La connexion avec les applications tierces se fait sur le Wahoo Elemnt Roam : de RideWithGps à MTB Project, en passant par Komoot ou Strava, une multitude de connecteurs sont présents.
La connectivité ANT+ et Bluetooth Smart promet la compatibilité avec l’ensemble des capteurs externes (vitesse, cadence, fréquence cardiaque, puissance) et le pilotage des home trainers. Avec ces derniers, le Wahoo Elemnt Roam affiche des entrainements calibrés dans une belle interface graphique. Les groupes électroniques (Sram, FSA, Shimano ou Campagnolo) communiqueront eux des données sur la batterie ou le braquet utilisé.
A noter, le support déporté fourni est de type « aéro » et comporte une vis optionnelle pour solidariser le compteur.

Points forts : Ergonomie générale, écran couleur, Connectivité complète.
A conseiller pour : l’expérience utilisateur complète : navigation, performances sportives et connectivité.
Fiche technique :
- Autonomie : 17h.
- Connectivité : ANT +, Bluetooth Smart, Wifi.
- Écran : Couleur 2,7 pouces (240 x 400 pixels).
- Écran tactile : Non.
- Cartographie : Monde (Open Street Map enrichie).
- Taille compteur : 89 mm x 54 mm x 18 mm.
- Poids : 94g.
- Prix : 349,99 €.
Plus d’informations sur le site de Wahoo.
8. Compteur vélo GPS Sigma Rox 12.0
Parce que tous les cyclistes ne sont pas des technophiles avertis, le compteur vélo GPS Sigma Rox 12.0 donnera satisfaction aux adeptes de la simplicité. Doté d’une interface utilisateur intuitive, le compteur Sigma Rox 12.0 est toutefois complet. D’une connectivité sans failles (Bluetooth, ANT+ et même Wifi), l’appairage avec les capteurs tiers (vitesse, cadence, puissance) accepte l’affichage de nombreuses métriques et graphiques dédiés.
La cartographie Europe est intégrée au compteur, l’option monde étant gratuite. Et pour les plus exigeants ou les vététistes, un emplacement pour carte micro SD (128 Go max) est disponible pour ajouter d’autres cartes.
Le logiciel Sigma Data Center permet de créer des parcours et de les enregistrer. Le compteur peut toutefois se connecter directement aux services en ligne comme Strava, GPSies, TrainingPeaks, Komoot ! Importer des itinéraires depuis ces plateformes devient un jeu d’enfant. Si cela ne suffisait pas, il suffit d’envoyer une trace GPX sur le compteur Sigma Rox 12.0 pour qu’il propose de suivre la trace.
Avec Draw my Route, un parcours peut être tracé directement sur le compteur à la main, le Sigma Rox 12.0 se chargeant de créer l’itinéraire.
Pour les têtes en l’air ou les pointilleux, les alarmes hydratation et alimentation sont réglables en fonction de la distance ou des calories consommées pour s’afficher à intervalles réguliers.

Points forts : Grand écran, Connectivité, fonctionnement autonome, emplacement carte micro SD.
A conseiller pour : sa simplicité d’utilisation et sa flexibilité.
Fiche technique :
- Autonomie : 16h (40h en mode ECO).
- Connectivité : ANT +, Bluetooth Smart, Wifi.
- Écran : Couleur 3 pouces (240 x 400 pixels).
- Écran tactile : Oui.
- Cartographie : Europe ou Monde gratuite.
- Taille compteur : 115 mm x 59 mm x 17 mm.
- Poids : 125g.
- Prix : 399 €.
Plus d’informations sur le site de Sigma.
9. Compteur vélo GPS Garmin Edge 830
Évolution de la référence Edge 820, le compteur vélo GPS Garmin Edge 830 bénéficie de toute l’expertise Garmin dans un boîtier compact. Doté d’un écran tactile simplifiant l’expérience utilisateur, le Garmin Edge 830 est dédié à la performance.
Ses puces GPS, Glonass et Galileo permettent une localisation précise avec une correction de l’altitude barométrique.
Le nouveau processeur, plus économe en énergie, permet de meilleures performances, tant en réception GPS qu’en calcul d’itinéraires. Ceux-ci se font en direct sur l’appareil, grâce à cartographie Garmin Cycle Map intégrée avec navigation, guidage vocal et gestion des points d’intérêts (POI). Le Garmin Edge 830 est autonome dans le calcul d’itinéraire et permet également la saisie d’adresse.
Le compteur vélo GPS Garmin Edge 830 est compatible LiveTrack et Strava Live et bénéficie de l’expertise Garmin en sécurité avec la détection d’accidents et la fonction de localisation Find My Edge en cas de chute.
Pour les vététistes, les cartes Garmin CycleMap sont compatibles Trailforks avec plus de 180 000 pistes VTT répertoriées et l’affichage de dynamiques spécifiques VTT (sauts et caractéristiques, Flow en descente, …) comblera les puristes.

Points forts : Navigation et calcul d’itinéraire, Cartographie intégrée, dynamiques VTT + Trailforks.
A conseiller pour : les cyclistes souhaitant un compteur vélo GPS complet avec cartographie, navigation et écran tactile.
Fiche technique :
- Autonomie : 20h (40h en mode ECO).
- Connectivité : ANT +, Bluetooth Smart, Wifi.
- Écran : Couleur 2,6 pouces (246 x 322 pixels).
- Écran tactile : Oui.
- Cartographie : Europe.
- Taille compteur : 80 mm x 52mm x 20 mm.
- Poids : 79 g.
- Prix : 399,99 €.
Compatible avec la gamme d’éclairage intelligent Garmin Varia.
Plus d’informations sur le site de Garmin.
10. Compteur vélo GPS Garmin Edge 1030 Plus
Le Garmin l’Edge 1030 Plus reprend le gabarit du 1030, pour un gramme supplémentaire. Son écran de 3,5″ (8,9 cm) offre une lecture très aisée. Chaque cycliste peut créer de nouveaux parcours depuis l’appareil ou choisir les circuits les plus populaires, avec la fonction TrendLine. Trailforks, permet de découvrir chemins et sentiers dans 80 pays.
VO2 Max, temps de récupération charge et objectif, toutes les fonctions indispensables au suivi de l’entraînement sont là, enrichies d’un bip lorsqu’il faut boire et de l’acclimatation à la chaleur, au froid ou à l’altitude.
Des fonctionnalités gravel et VTT permettent de comptabiliser les sauts et la distance d’envolée, tandis que la fonction Flow mesure la fluidité des descentes et que Grit évalue la difficulté d’un parcours, selon le dénivelé ou l’accélération.
Les possesseurs d’un Garmin Edge peuvent télécharger un profil personnalisé depuis l’ancien appareil. Les autres devront paramétrer à partir des capteurs et des données statistiques, selon chaque pratique. Compatible avec les home-trainers connecté, l’Edge 1030 Plus permet de conserver ses données sur l’interface Garmin Connect.
Renseignements complémentaires sur le site Garmin.

Points forts : Ecran couleur XXL, mémoire interne de 32 Go, navigation et création d’itinéraire autonome.
A conseiller pour : les cyclistes avides de navigation, et ceux souhaitant le meilleur compteur vélo GPS.
Fiche technique :
- Autonomie : 24h.
- Connectivité : ANT+, Bluetooth et Wifi.
- Écran : Couleur 3,5 pouces (282 x 470 pixels).
- Écran tactile : Oui.
- Cartographie : États-Unis et Europe.
- Taille compteur : 114 mm x 58 mm x 19 mm.
- Poids : 124 g.
- Prix : 549,99 € (appareil seul) 649,99 € (Pack multicapteurs).
Compatible avec la gamme d’éclairage intelligent Garmin Varia.
Bonjour Matériel vélo,
J'aimerai savoir quel compteur GPS est compatible avec le groupe électronique SRAM Force etap AXS 12 vitesses.
Je pensais prendre le Garmin edge 1030 plus, quand pensez vous?
Merci de votre réponse.
Eric.