Quels sont les 10 meilleurs pneus vélo route ?
Compte tenu de l'offre pléthorique, choisir le pneu le mieux adapté à ses besoins et à ses envies, n'est pas chose facile. Cela est d'autant plus vrai, qu'il faut souvent respecter un certain budget. Voici donc notre sélection des 10 meilleurs pneus de vélo de route du moment. Chacun trouvera forcément le pneu qui lui conviendra le mieux.
- Continental GP 5000
- Continental Grand Prix 4 Saisons
- Continental Grand Prix
- Michelin Power Road
- Michelin Power Time Trial
- Michelin Power Cup Tube Type
- Veloflex Corsa
- Pirelli PZero Velo
- Hutchinson Fusion 5 Performance
- Vittoria Corsa Graphène 2.0
> Ce qui fait la qualité d’un pneu
En matière de vélo, et tout particulièrement de vélo de route, si la puissance musculaire est le moteur (!) premier de la performance, via le nombre de watts développés, c’est le rendement, de l’indissociable ensemble homme-machine, qui fait toute la différence. À ce titre, le pneu est un élément essentiel. Parce qu’il est en liaison directe avec le sol (la route) et parce qu’il contribue grandement à l’aérodynamique de ce même ensemble homme-machine. De par sa gomme, son épaisseur, sa largeur, sa rigidité, il joue sur les compromis. Analyse !
Aujourd’hui, les méthodes d’entraînement (plans de travail, utilisation de cardiofréquencemètres, de capteurs de puissance, de capteurs de fréquence(s)…) du cycliste, indépendamment de son niveau intrinsèque ou de sa catégorie, ont tendance à homogénéiser les choses. Les aptitudes de chacun sont optimisées. La différence s’opère sur de simples détails. Des détails qui, du coup, prennent toute leur importance !
Et l’un de ces “détails” à soigner en priorité est, sans aucun doute, le pneu… Ou plus exactement, l’indissociable ensemble pneu / chambre à air. Indissociable ? Oui, vous avez bien lu ! Il ne viendrait, en effet, à l’esprit de personne, sinon d’un névrosé pathologique, de dissocier les composants d’un boyau, pour aller rouler. Alors, pourquoi le faire avec un pneu et une chambre à air ? Le gonflage se trouve inévitablement impacté par le choix de ladite chambre à air, par rapport au dit pneu. Idem pour la résistance à la crevaison, voire pour le confort...
> D’abord, la bonne chambre à air
Le choix de la – bonne – chambre à air est, avant tout, une question de philosophie, une question de positionnement par rapport à ce que le cycliste va privilégier dans sa pratique. Que ce soit par rapport au poids de la chambre à air, son confort ou sa résistance à la crevaison, il faut faire des compromis. Partant de là, il faut composer avec trois grands types de chambres à air et donc trois grandes typologies au caractéristiques différentes.
Il y a d’abord les modèles en latex. Légères et souples, ces chambres à air vont dans le sens de ce que recherchent les compétiteurs et les adeptes de la vitesse : un énorme rendement. Les spécialistes avancent un gain moyen de 2W, par rapport aux chambres à air classiques, en butyle. Revers de la médaille, ces chambres exigent un gonflage – au minimum – quotidien, car s’il est à la fois souple et plutôt léger, le latex est également assez poreux. Au bout de quelques heures (une étape du Tour ?), la perte en pression est conséquente. De même, elles se révèlent très sensibles à l’échauffement. Elles sont donc à déconseiller (risque d’explosion), par temps de canicule (l’été, essentiellement), tout particulièrement avec des jantes en carbone.
Les chambres à air dites classiques, réalisées en butyle, se révèlent un peu moins souples et un peu plus lourdes… Par contre, elles offrent une bien meilleure résistance à la crevaison, surtout lorsque l’on utilise un liquide préventif (du latex) apte à reboucher les petits trous. Cela augmente un peu la rigidité de la chambre, mais c’est assez imperceptible, il faut bien le reconnaître.
Le juste milieu ? Les chambres à air légères, réalisées en … butyle. Elles sont, comme leur nom l’indique, plus légères, car moins épaisses (il y a, c’est logique, beaucoup moins de matière) que les chambres à air classiques. Conséquence, elles sont également un peu plus souples et un peu plus confortables, que leurs homologues dites classiques et (les paresseux ou autres allergiques de l’atelier vont adorer !), elles n’ont pas besoin d’être régulièrement gonflées. Les spécialistes estiment que le gain de puissance induite est de l’ordre d’1W, par rapport aux chambres dites classiques…
> Quand on veut le meilleur
Une fois choisie la chambre à air, essentiellement en fonction de ses objectifs, mais également de ses pratiques, il importe de sélectionner le pneu, le plus en rapport avec ses capacités, ainsi qu’avec ses ambitions. Là encore, c’est une affaire de compromis. Et, avec cet organe de liaison à la route qu’est le pneu, le compromis est celui du rendement, du confort, de l’accroche et de l’aérodynamisme.
A priori, on pourrait penser qu’une faible section (moins de surface de contact du pneu sur la route) favoriserait le rendement, par une moindre résistance au roulement. Des études ont, depuis une quinzaine d’années, largement prouvé le contraire. D’ailleurs, cela fait un moment que les pros (exemple le plus médiatique !) ont délaissé la section 19 et n’hésitent plus, sur certains terrains, à monter des pneus de section 28…
D’autres études ont en effet montré que, par rapport à ce qui fut longtemps un standard routier (la section 23), les pneus de section 28 offrent un rendement supérieur de presque 15%. Logique. Avec une surface de contact à la route plus importante, les micro-glissements ont pratiquement disparu. Et, en termes de confort, il n’y a plus aucune discussion possible, d’autant que la pression de gonflage peut se permettre d’être bien moindre. Les adeptes des longues distances comprennent l’importance de la chose !
Attention, cependant. Les vélos un peu anciens, tout particulièrement lorsqu’il s’agit de cadres dont la géométrie a été étudiée pour la performance (rigidité et, surtout, faible empattement) n’acceptent pas nécessairement un pneu de section 25 (l’espace entre le pneu et le tube de selle est pratiquement inexistant). Un pneu de section 28 n’est donc pas compatible…
> Priorité à l’aérodynamisme
Autre revers de la médaille, pour les fortes sections : l’aérodynamisme est largement – et négativement – impacté. À grande vitesse (plus de 30 km/h), il ne sert donc à rien de choisir un pneu de section supérieure à 25. Le 25 étant (d’autres études l’ont démontré) le meilleur des compromis entre rendement, confort et aérodynamisme. C’est d’ailleurs la section préférée des pros… Qui, eux, roulent presque exclusivement en boyaux. Le confort de ce type de montes étant incomparable.
Certains feront remarquer, à juste titre, que les manufacturiers du pneu ont beaucoup travaillé sur le confort de leur production, au moins en haut de gamme. Ils se sont alors orientés vers des pneus à chape collée, pour un rendement exceptionnel et un confort, qui, sans l’égaler, se rapproche grandement de celui des boyaux. Par contre (il faut bien un bémol !), l’aérodynamisme de ce type de pneus se révèle très décevant (la “pénalité” sur un CLM de 40 km serait de l’ordre de 10’’…).
Partant de ces constatations aérodynamiques, il apparaît que ce sont les Allemands de Continental et de Schwalbe qui tiennent la corde. Continental avec ses GP5000 et ses Attack 23 ; Schwalbe avec ses Pro One 23… Mais il ne faudra pas négliger, non plus, le couple composé des Continental Attack / Continental Force. En effet, ce duo a été tout particulièrement étudié pour optimiser le rapport rendement / aérodynamisme. À l’avant, le pneu (section 23) a été pensé pour une excellente pénétration dans l’air, tandis que pour le rendement (et, dans une certaine mesure, pour le confort), le pneu arrière présente une section de 25. Logique. L’arrière du vélo doit composer avec les remous aérodynamiques, provoqués par l’action de pédalage. Et puis, ledit pneu arrière est “protégé” par le tube de selle. Alors, une plus grande surface d’accroche, à l’arrière, permet de mieux transmettre la puissance (exprimée en watts) du cycliste.> La question de la durabilité
Le rendement, à savoir le faible (le plus faible possible) coefficient de frottement au sol, constitue l’un des critères les plus importants au moment de choisir ses pneus. Encore une fois, il va falloir faire des compromis. Les pneus à fort rendement sont aussi les plus chers et ceux qui s’usent le plus rapidement. En effet, afin d’aller dans le sens d’une résistance au roulement, la plus petite possible, les manufacturiers diminuent l’épaisseur de la gomme tout en ignorant, fortement (mais jamais totalement), la notion de protection anti-crevaison. Alors, à moins de disposer d’un – très – important budget pneus, il faut préférer l’endurance à la performance… Ou l’inverse. Dans des proportions plus ou moins importantes.
Au moment de choisir, ce n’est jamais bien compliqué, les pneus qui offrent le plus haut niveau de rendement sont ceux du haut de gamme, que ce soit chez n’importe quel manufacturier (Vittoria avec son Corsa Speed ; Michelin avec son Power Competition ; Schwalbe avec son Pro One ; Continental avec son Grand Prix TT ou Hutchinson avec son Fusion 5 Galactik). De même, les pneus les plus endurants sont ceux dont le rendement est diminué par une bien meilleure résistance à la crevaison (Schwalbe a son Durano et Continental, son Gatorskin) grâce à une importante sous-couche, ainsi que grâce à une bande de roulement plus épaisse.
Attention, la différence entre les pneus les plus endurants (ou considérés comme tels) peut être énorme. Chez Schwalbe, par exemple, il apparaît qu’à puissance égale, le passage d’un Durano à un Pro One permet de gagner quelques 10W… La montée d’un col mythique tel que le Tourmalet (côté La Mongie, par exemple) nécessiterait environ 1’ de moins.
> Un gonflage à optimiser
Tous ces éléments ne sont que théoriques, mais ils sont également valables à une échelle un peu différente, pour les pneus tubeless (performances comparables, confort supérieur, risques de crevaison largement réduits et adhérence exceptionnelle). Les caractéristiques de chaque pneu sont, en effet, largement conditionnées par un gonflage optimisé.
Plus un pneu est gonflé, plus les aspérités de la route se font sentir. De nombreux cyclistes commettent l’erreur “classique” de gonfler aussi fort que possible en espérant, sur la route, optimiser ce fameux rendement. Mais, au-delà d’une certaine limite, cela ne sert à rien. À haute vitesse, sur mauvaises routes et/ou lors des passages effectués en danseuse, les pneus trop gonflés (tout particulièrement au-dessus de 9 bars), donc trop rigides, plutôt que de se déformer, auront tendance à rebondir sur la chaussée, ce qui est néfaste à la performance comme à la sécurité, puisque l’adhérence s’en trouve largement impactée.
Afin d’optimiser le gonflage, il faudra se baser sur les informations fournies par les fabricants, qui inscrivent sur le flanc de leurs produits, la pression minimale et maximale préconisée, exprimée en bar (et en psi). Et adapter cette – juste – pression au poids du cycliste. La règle communément admise est celle du “10 %”. Selon ce “théorème”, un cycliste de 70 kg gonflera ses pneus à 7 bars tandis qu’un cycliste de 65 kg les gonflera à 6,5 bars. Ladite règle s’avère bien adaptée à la plupart des pratiquants. Cependant, les plus légers comme les plus lourds, devront “interpréter” les choses. Il est, en effet, communément admis que dépasser une pression de 8,5 bars peut être néfaste, y compris pour un cycliste pesant 100 kg ou plus. De même, il est déconseillé aux poids plumes (50 kg et moins) de descendre sous les 6 bars, ne serait-ce que pour éviter le pincement de la chambre à air. Ce détail n’est pas tout à fait valable pour les boyaux, un peu moins contraignants en termes de gonflage...
Choisir un pneu en adéquation avec ses ambitions, comme avec ses capacités intrinsèques (le niveau de forme ne joue que de manière très marginale), est donc une question de compromis. Il s’agit, en effet, de déterminer ses priorités. Rendement, confort, résistance à la crevaison ou durabilité de la gomme permettent de définir le type de monte à choisir. Il s’agira ensuite, en fonction du niveau d’aérodynamisme exigé, de choisir la bonne section, quitte à mixer deux largeurs. Pneu plus fin à l’avant, pneu plus large à l’arrière. Mais, au bout du compte, comme souvent, c’est la question du budget qui risque d’orienter le choix de chaque cycliste…
1. Pneu vélo route Continental GP 5000
Qualités: endurance, poids, confort, résistance à la crevaison, performance, adhérence.
Prenez un best-seller comme le pneu Continental GP 4000 SII, améliorez toutes ses qualités et vous obtiendrez le dernier né de Continental dédié à la compétition.
Le pneu vélo route Continental Grand Prix 5000 est un pneu souple qui filtre très bien les aspérités de la route. La carcasse est composée de 3 couches de 110 TPI, revêtue d’une couche anticrevaison Vectran et d’une couche de roulement maison dénommée Black Chili Compound.
Les différents tests de roulement existants ont mesuré le pneu Continental Grand Prix 5000 comme le meilleur pneu route sur le marché (seuls des modèles Tubeless ou dédiés au contre la montre font mieux).

La composition du Pneu Continental GP 5000
Le pneu vélo Continental GP 5000 est disponible en nombreuses sections (23, 25, 28 et 32 mm) et en taille 650 (25 et 28mm). C’est le pneu polyvalent par excellence dédié à la performance. A conseiller à tous les cyclistes avertis ne souhaitant pas faire de concession sur la performance.
Poids: 215g en 25mm.
Le pneu route Continental GP 5000 est également disponible en version Tubeless ! Presque identique à la version chambre à air, cette version a toutefois obtenu un score supérieur lors des tests de roulements du site Bike Rolling Resistance. Un pneu aux performances exceptionnelles.
2. Pneu vélo route Continental Grand Prix 4 Saisons
Qualités: endurance, résistance à la crevaison, adhérence sur sol mouillé, performance à basses températures.
Le pneu vélo route Continental Grand Prix 4 Saisons est un pneu endurant et très robuste. Sa carcasse en Nylon est composée de 3 couches 110 TPI, sa couche anticrevaison Vectran est plus épaisse que sur les GP 5000 et un tissu Duraskin assure la protection des flancs. Tous ces procédés Continental assurent une résistance supérieure à la crevaison.
Pneu vélo route Continental Grand Prix 4 Saisons
Sans être trop consommateur d’énergie pour avancer, le pneu route Continental Grand Prix 4 Saisons offre une excellente adhérence sur sol mouillé et à basses températures.
C’est le pneu vélo référence pour les sorties hivernales, l’entrainement ou les longues randonnées.
Poids: 240g en 25mm.
3. Pneu vélo route Continental Grand Prix
Qualités: endurance, prix, performance.
Le pneu vélo route Continental Grand Prix est un pneu fait pour avaler les kilomètres. Dans la gamme Continental, c’est le pneu sportif par excellence.
Le pneu route Continental Grand Prix est composée d’une carcasse 3 couches 180 TPI, d’une couche anticrevaison PolyX et d’une couche de roulement Black Chili Compound comme ses grands frères GP 4000 et GP 5000.
Pneu vélo route Continental Grand Prix
Avec un prix contenu par rapport aux GP 4000 ou GP 5000, le pneu vélo Continental Grand Prix offre des performances en rendement tout à fait honorables. La durée de vie est toutefois supérieure aux pneus dédiés à la performance.
Le pneu Continental Grand Prix est un pneu idéal pour les cyclosportifs, les cyclistes exigeants et ceux qui souhaitent épargner leur porte monnaie.
Poids: 245g en 25mm.
4. Pneu vélo route Michelin Power Road
Qualités : polyvalence, prix, résistance à la crevaison, endurance.
Afin de prendre la relève du très polyvalent Michelin Power Endurance, la firme de Clermont-Ferrand a développé le Power Road un pneu vélo pour l’entraînement, le début de saison et les longues distances. Pneu souple, il est doté d’une carcasse 3 plus 120 TPI et d’une couche de protection Aramide Protek+.
Avec le nouveau marquage, Michelin fait rentrer son pneu vélo route Power Road dans le domaine du sport. Ce n’est pas que de l’image. La performance est au rendez-vous, pour un prix très raisonnable.
Poids : 235g en 25mm.
5. Pneu vélo route Michelin Power Time trial
Qualités : rendement, faible résistance au roulement, grip sécuritaire en virage, prix.
Le pneu vélo route Michelin Power Time Trial est un pneu taillé pour la performance pure. Pensé pour les chronos et les courses nerveuses, il est probablement le plus rapide de la gamme route du Bibendum. Doté d’une carcasse trois plis 180 TPI et de tringles souples en Aramide, il dispose du nouveau mélange de gommes, Race-2 Compound.
Avec sa carcasse particulièrement dense, il se révèle extrêmement résistant à la crevaison, sans se montrer inconfortable. La souplesse des flancs n’est pas étrangère à la chose.
Plutôt léger, ce pneu vélo route Michelin Power Time Trial saura faire le bonheur des compétiteurs les plus exigeants, qu’il s’agisse des spécialistes du CLM, des sprinter ou des grimpeurs qui aiment descendre.
Poids : 190g en 25mm.
6. Pneu vélo route Michelin Power Cup Tube Type
Qualités : performance, adhérence toutes saisons, poids.
Le pneu vélo route Michelin Power Cup Tube Type est un pneu souple dédié à la performance. Il succède au Michelin Power Compétition. Composé d'une carcasse 3 plis 120 TPI, associée à la technologie Aramid Shield, qui optimise la résistance à la crevaison, il adopte une nouvelle couche de roulement, profitant ainsi de l'expérience Michelin en Moto GP.
Partie prenante de la conception et du développement, les coureurs de l'équipe WolrdTour, COFIDIS, ont validé cette bande de roulement réalisée en gomme Gum-X. Avec elle, Michelin semble avoir trouvé le juste compromis entre grip (sur sol sec comme détrempé) et résistance au roulement.
Si on ajoute l'impeccable tenue de route, particulièrement en section 25 mm, et l'excellent niveau de confort, on a l'un des pneus route les plus performants du marché. D'autant qu'il est plutôt léger et qu'il fait preuve d'une excellente fiabilité.
Pensé pour les attaquants, ce Michelin Power Cup s'adresse aux compétiteurs et aux cyclosportifs les plus exigeants. Les randonneurs orientés sport devraient également s'y intéresser fortement, qu'ils utilisent des freins à disques ou des freins à patins.
Poids : 205g en 25 mm, 215g en 25 mm et 226g en 28 mm.
7. Pneu vélo route Veloflex Corsa
Qualités: confort, rendement, polyvalence, poids.
Le pneu vélo route Veloflex Corsa est un pneu souple de type « boyau ouvert ». Il est en effet composé d’une carcasse en coton 320 TPI, d’une couche anti-crevaison et de roulement tendre.
Parmi les pneus coton, le pneu route Veloflex Corsa est le plus résistant à la crevaison. Avec un rendement correct, un poids très intéressant et une longévité correcte, le pneu Veloflex Corsa est logiquement le pneu passe partout par excellence.
Son adhérence est excellente sur le sec et très bonne sur sol humide. Sa bande de roulement peut par ailleurs être choisie de 3 couleurs différents pour s’adapter au style de votre vélo.
Le pneu vélo route Veloflex Corsa est à conseiller aux cyclistes voulant garder la sensation et le confort du boyau, sans faire de concession sur le poids et la résistance à la crevaison. Tout ceci dans un prix contenu en faisant l’un des meilleurs rapport prix/qualité du marché.
Poids: 205g en taille 25mm.
8. Pneu vélo route Pirelli P Zero Velo
Qualités : confort, rendement, grip, excellente tenue dans le temps, prix.
Pensé pour la course, le pneu vélo route Pirelli P Zero Velo a pour principale qualité, la polyvalence. Doté d’une carcasse de 127 TPI, il démontre une étonnante souplesse, pour un confort de très haut niveau et un poids modéré.
C’est ce modèle qui a inauguré la gomme SmartNet Silica, qui résulte d’un mélange de dix-sept éléments différents, dont la molécule Net. C’est elle qui permet d’harmoniser la structure. En action, ce Pirelli offre un comportement irréprochable, notamment à très haute vitesse, tant au niveau du grip que du rendement.
La forme ronde de ce pneumatique se traduit par une réelle progressivité dans la prise d’angle. Ainsi, les courbes peuvent être abordées avec vélocité. C’est un indéniable avantage, notamment dans les longues et sinueuses descentes de cols.
Le Pirelli P Zero Velo s’adresse avant tout aux cyclosportifs les plus véloces, mais aussi aux compétiteurs et aux randonneurs, qui cherchent un pneu vélo de route agile, offrant du rendement sur la durée, quelles que soient les conditions météo.
Poids : 201g en taille 25mm.
9. Pneu vélo route Hutchinson Fusion 5 Performance
Qualités: polyvalent, fiable, adhérence.
Le pneu vélo route Hutchinson Fusion 5 Performance est composé d’une carcasse de densité 127 TPI, d’une couche renforcée en Kevlar et d’une couche de roulement HDF 5.2 étudiée pour l’adhérence et la longévité.
Fabriqué en France, c’est le pneu vélo des compromis. Utilisable sur tous les terrains, par tous les temps, le pneu route Hutchinson Fusion 5 Performance est difficile à prendre en défaut. Sa construction avec une carcasse à haute densité permet une déformation optimum pour assurer un grip maximal et un confort accru. Sa résistance à la crevaison et sa longévité vous permettent de voir venir et de parcourir de nombreux kilomètres malgré un poids contenu.
Le pneu vélo Hutchinson Fusion 5 Performance est à conseiller pour tous ceux qui souhaitent le pneu le plus polyvalent du marché, parfaitement équilibré entre confort, rendement, adhérence et résistance.
A noter qu’il existe une version Tubeless du pneu Hutchinson Fusion 5 Performance. Celle-ci est identique à l’ajout près d’une couche de caoutchouc à l’intérieur du pneu pour assurer l’étanchéité à haute pression.
Poids: 210g en taille 25 mm.

La polyvalence du pneu vélo route Hutchinson Fusion 5 Performance
10. Pneu vélo route Vittoria Corsa Graphène 2.0
Qualités: rendement, adhérence, longévité.
Le pneu vélo route Vittoria Corsa Graphène 2.0 est un pneu souple doté d’une carcasse en coton de 4 couches 80 TPI, d’une couche anti-crevaison et d’une autre de roulement multi composants Graphene.

Le pneu vélo route Vittoria Corsa Graphène 2.0 offre une accroche exemplaire
La carcasse en coton du pneu route Vittoria Corsa Graphène 2.0 assure un comportement proche de celui des boyaux et une souplesse remarquable apportant du confort. Sa couche de roulement est très résistante et assure une adhérence exceptionnelle, aussi bien sur sol sec que sur sol mouillé. Ses qualités de roulement en font une référence pour rouler vite.
Vittoria a amélioré son pneu vélo Corsa Graphène de 1ère génération, tant sur le rendement que l’adhérence. Mais ce sont surtout les qualités de longévité et de résistance aux coupures qui ont été corrigées sinon améliorées.
Le pneu vélo route Vittoria Corsa Graphène 2.0 est à conseiller aux compétiteurs souhaitant un pneu sûr et rapide. Les adeptes du boyau trouveront également leur compte avec ce pneu qui est tout simplement le meilleur en carcasse coton.
A noter qu’il existe une version Tubeless Ready du pneu Vittoria Corsa Graphène 2.0.
Poids: 255g en taille 25 mm.
Avec notre sélection des meilleurs pneus vélo route, vous pourrez facilement choisir celui qui correspond le mieux à vos attentes. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à nous laisser un commentaire ci-dessous.